goldorak a écrit:
bonjour un debut d explication trouve sur le net: Dans la presse en Allemagne ce matin : Traduction rapide et journalistique : a 1000 pieds , a 1 min att, F/O en PF reagit a une alarme GPWS avec TOGA + leve le nez , mais l'avion est tres leger , et l' augmentation de vitesse et de pitch devient vite excessive, reaction du F/O en baissant rapidement le nez, declenchant une nouvelle alarme GWPS, Cdb reprend le controle, remonte le nez brusquement, mais avion continue a descendre et contact avec le sol --- le journaliste se refere a une source proche de l' investigation ( probablement Airbus Hambourg) donc a prendre avec des pincettes , mais consistant avec ce que j' avais deja entendu dans les couloirs a Berlin
..."Lorsque le jet est à peu près à 1.000 pieds d'altitude et à environ une minute de toucher le sol, selon des personnes familières avec les détails, les pilotes ont réagi à un certain type de sol d'alerte de proximité. Le co-pilote, qui volait, augmentation de la puissance rapidement et tiré vers le haut du nez de l'avion, généralement les étapes correctes d'engager un soi-disant remise des gaz. Mais puisqu'il n'y avait pas beaucoup de passagers à bord et le jet de carburant avait relativement peu, il a accéléré rapidement. Le commandant de bord, selon des personnes familières avec la séquence des événements, peut-être regarder les cartes ou était distrait par autre chose.
À ce moment, le co-pilote croyait apparemment l'Airbus A330 a été montée à un angle dangereusement escarpés et a piqué, vite perdre le contrôle de l'avion. Le commandant de bord par la suite tenté de tirer sur le nez de nouveau quand il a entendu les avertissements de collision plus, mais le gros avion était trop près du sol pour les manoeuvres, ces gens ont dit. Ce scénario est compatible avec la très dispersés, des petits morceaux de l'épave trouvée sur le site...
Les bruits de couloir de Toulouse disent un peu la même chose en précisant qu'auparavant l'avion se presentait trop haut et qu'il y aurait eu des manoeuvres à piquer avec augmentation de la vitesse. Toulouse parle aussi d'une possible confusion entre la vraie piste et la route parallele à cause du soleil de face et de la brume...