retardretard a écrit:
on sera toujours face à des problèmes éventuels de transmissions , de brouillages , de pannes .
Sans pilote c'est le tapis d'assuré .
On va aussi au tapis,
- parce qu'il y a un malade mental au manche,
- parce qu'ainsi il n'y aura plus de conflits entre les 2 sièges,
- parce que les procédures ne sont pas respectée,
- parce qu'il y a des erreurs dans l'application des procédures ,
etc.
La série TV "air crash" en rapporte des tas
et nombreuses sont celles qu'un drone ne pourrait pas commettre.
Aucun système n'est parfait
et il y aura toujours des crashs sans qu'il y ait eu panne.
La compétition pour ce marché comme pour les autres fera toujours
que la solution la moins couteuse finira par être adoptée.
Un drone comme second pilote n'étant que très rarement nécessaire,
car quoi qu'on dise les avions ça marche plus tôt bien,
fera qu'un petit pool de pilotes de drone au sol
suffira pour gérer les quelques cas qui se produisent par jour sur la planète.
Le facteur d'échelle est tellement énorme,
que tous ceux qui freineront des 4 fers
ne feront qu'un combat d'arrière garde.
Tant qu'au problèmes de brouillage
il faut savoir qu'ils ne durent jamais longtemps
surtout pour un avion dont le déplacement rapide,
l'éloigne de la source ce qui résout presque tous les cas.
D'autre part un bon drone va là où on lui a indiqué d'aller
en cas de perte du contrôle au sol.
Ensuite il reste encore les centrales à inertie
qu'aucune forme de brouillage n'atteint,
et que les sous-marins les plus sophistiqués utilisent depuis des décennies.
Je ne sais si c'est vrai, mais on m'avait rapporté
qu'il y avait une centrale inertielle sur le Concorde,
quelqu'un sait le fin mot de cela ?