La théorie du Giec en général et en son sein celle du cycle du carbone en particulier ont pour objectif principal d’assurer la survie du Giec ! Qui s’est donné pour mission d’identifier les causes humaines d’un réchauffement climatique.
A cette fin le Giec a entrepris de :
a)
créer de toute pièce un problème climatique. b)
déclarer que l’homme en est la cause . c)
proposer des « solutions » au problème ainsi créé.
En langage climatique (Formulé par Delrieu) cela donne :
Citation:
Mais c'est effectivement le CO2 que l'on a fait grimper en flèche depuis 150 ans qui est le facteur principal du déséquilibre actuel.
pour rétablir cet équilibre rompu, il va nous falloir diminuer fortement notre usage des énergies fossiles (de toute façon, les stocks commencent à s'épuiser) et trouver le moyen de favoriser la capture du CO2 atmosphérique pour le remettre dans un stock stable.
Il y aurait donc un déséquilibre (créé par la civilisation industrielle), et donc un péril car le CO² réchaufferait la planète. Le salut passerait alors par la recherche d’une « neutralité carbone » en attendant de réduire significativement la proportion de ce gaz malfaisant.
Nous allons maintenant voir que rien de tout cela n’existe !1er mythe celui d’un équilibre.D’abord un coup d’oeil au tableau ci dessous permet de voir qu’
il n’y a jamais eu quelque chose qui ressemble à un équilibre, mais simplement une succession de périodes chaudes et froides d’intensités et de durées variables, c’est le fonctionnement naturel du climat … sans aucun CO² d’origine humaine. Il s’ensuit que
la période actuelle n’a absolument rien d’anormal au sens courant du terme. Nul n’est donc habilité à dire qu’il existe un quelconque déséquilibre ou dérèglement climatique.
2éme mythe : l’accumulation du CO² dans l’armosphère.Pour pouvoir faire porter le chapeau à la civilisation industrielle le Giec a inventé le baratin suivant :
« Avant la période industrielle l’atmosphère avait une concentration en CO² de 280 ppm (c’est une estimation) actuellement celle ci est de plus de 400 ppm. La différence entre les deux est donc due aux rejets de CO² anthropique et il y a donc accumulation dans l’atmosphère. »
(et pour eux danger puisque le CO² réchauffe paraît il)
Tout ceci est archi faux car le CO² ne s’accumule pas dans l’atmosphère ! Il est absorbé et se renouvelle en permanence. Tout le CO² actuellement dans l’air aura été absorbé (et renouvelé) d’ici 5 ans ! Soit 20 % par an.
Remarque importante : Ces 20 % annuels s’appliquent a toute la quantité entrante. Pour 300 ppm c’était 20 %, pour 400 ppm actuellement c’est 20 % et pour 600 ppm ce sera 20 %.
3éme mythe le CO² réchauffe la planète.(en dehors des impossibilités physiques auxquelles se heurte le mécanisme explicatif avancé par le Giec).
Ce qu’on constate sur le terrain (à l’observatoire du Mona Loa par exemple) c’est qu’
une augmentation de t° précède toujours une augmentation de CO² et non pas le contraire. Sauf pour le CO² anthropique mais celui ci ne représente que 6 % du total. Les 94 % restants de CO² sont donc in fine pilotés par le soleil. D’où le caractère aussi grotesque que dérisoire des politiques destinées à solutionner un problème qui n’existe pas ! Limitation des GES, neutralité carbone et autres foutaises.
D’après les sous mariniers le CO² devient mortel vers 3, 4 % de concentration dans l’air. Comme sa concentration actuelle est de 0,04 % il faudrait qu’il y ait 100 fois plus de CO² qu’actuellement pour que ça pose un problème. Or, ont n’atteindra jamais ce chiffre même après avoir brûlé toutes les ressources fossiles de la Terre (gaz, pétrole, charbon + toutes les forêts).
Si le CO² ne présente aucun inconvénients il a bien des avantages.
Au 20éme siécle la surface de la couverture végétale du globe a augmenté de 20 %. Merci au soleil qui en augmentant la t° a augmenté la production naturelle de CO² et favorisé ainsi la croissance des plantes !
Quant au CO² anthropique ! Rendez vous compte il converti les plantes mortes des combustibles fossiles en plantes vivantes…. Quel drame ! Quelle menace ! Quel danger pour la planète !
