En 2021, Syukuro Manabe a reçu la médaille du travail ! Celle-ci a pris la forme de la moitié d’un prix Nobel de physique qu’il a dû partager avec Klaus Hasselman pour, selon le jury, « la modélisation physique du climat de la Terre, en avoir quantifié la variabilité et prédit de façon fiable le réchauffement climatique ».
Cette modélisation se sert des équations qui décrivent le fonctionnement de la photosphère des étoiles pour détailler les transferts de rayonnements thermiques à travers l’atmosphère de la Terre.
Il s’agit d’une absurdité car on suppose que la surface de la Terre (comme le cœur thermonucléaire d’une étoile) évacue sa chaleur (reçue du soleil) vers le cosmos, par voie radiative, en infra rouge thermique, à travers l’atmosphère (assimilée à la photosphère d’une étoile).
Sans surprise,
l’absurdité des résultats, est venue confirmer l’inadéquation du modèle, puisqu’ils montrent une discontinuité de T° de 12°C et plus, entre la surface et l’air, alors même que ces deux éléments sont en contact l’un avec l’autre et donc d’une T° sensiblement égale, dans la réalité. (Passons sur les ajustements ultérieurs effectués par Manabe pour essayer de faire croire à la pertinence de sa modélisation).
Ce qui est important de remarquer c’est que
les pékins du Giec s’imaginent maintenant qu’il existe une base scientifique à un transfert de chaleur sur un mode radiatif alors même qu’on vient de leur démontrer que :
1 - ce n’est pas le cas dans une serre
2 - qu’un rayonnement en infrarouge thermique est très rapidement arrêté par l’opacité de l’atmosphère.
3 – la molécule de CO² est dans l’impossibilité physique d’émettre, de toute façon, un rayonnement.
La médaille du travail de Manabe vient donc
récompenser un montage conceptuel qui permet d’entretenir l’illusion qu’il existe un forçage radiatif, cheville ouvrière d’un effet de serre qui, comme chacun le sait, génère et générera des cataclysmes en tous genres !
