passagerlc a écrit:
Paris / Tahiti, :
Paris/Lax avec Air France en avion combi, puis escale à Lax avec une nuit au Hyatt House, départ le lendemain sur UTA... (Dans les années 60/70)
Années 70/80
Très souvent à l'aéroport de Lax, , (surtout dans le sens Papeete Paris) l'agent AF venait demander qui voulait bien rester 2 jours de plus à Lax, tous frais payé, (car l'avion était surbooké) , scènes véridiques vécues, l'agent AF, si personne n'était volontaire ajoutait une "prime" variant , suivant les fois , de 50 à 200 $ par personne et par jour.... La seule contrainte pour les volontaires étaient de se présenter à l'aéroport chaque fois qu'il y avait un nouveau départ sur paris, et des places libres...
Le jeudi 19 Août 1982... je quittais CDG pour deux semaines de vacances à Tahiti...
D'abord un " Los Angeles " avec Air France ( vol 003 de 17h00 )... 747-200 Combi F-BPVS...
A l'escale californienne... environ trois heures d'attente sur les marches de l'aérogare...
Avant d'embarquer dans un DC-10-30 UTA... l'un des trois qui portait une immatriculation US...
Arrivée à PPT le 20 Août... vers 4h00 du matin... ( déjà 16h00 en métropole )...
Vendredi 3 Septembre 1982 en début de journée... embarquement à PPT à bord du 747-200 UTA F-BTDH...
Une fois par semaine... le " LAX " était assuré en 747 qui arrivait de Paris par l'Asie et Nouméa...
A bord nous avions Jacques Chirac maire de Paris... madame et Bernard Pons...
Ils étaient assis cinq rangs devant moi... et c'est vrai qu'ils étaient sympas... détendus...
A LAX effectivement... on nous a proposé de rester... 24 voire 48 heures de plus...
Mais mon paternel reprenait le boulot le lundi 6... ça faisait juste... dommage...
Alors à Los Angeles... 22h00 locale ( déjà 7h00 le lendemain matin à Pontoise )... nous embarquions...
... toujours avec les Chirac... Ã bord du " vol 004 " ...
Assuré par le 200 Combi F-GCBC qui terminera sa carrière sur le ventre à Rio en Décembre 1985...
Samedi 4 Septembre 1982... 17h30... CDG2A... arrivée... " On time " ...
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Un kilomètre de route ne mène nulle part... un kilomètre de piste mène partout... à fortiori trois ou quatre...