Ne jamais oublier de se laver les mains avant d'aller aux pissotieres

Jacksonville ( Floride )... 10 Août 2005... Changement d'une roue de P-3C Orion...

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Un kilomètre de route ne mène nulle part... un kilomètre de piste mène partout... à fortiori trois ou quatre...

Belle trouvaille,
un peu press-book la photo mais c'est pas grave,
on aime la vraie vie des hommes et des machines en dehors des shows.

S'il trainait une photo du crik...

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Jeff
http://f6aoj.ao-journal.com/crbst_486.html

le pedigree de l'avion Boeing B737 Aviogenex http://www.airfleets.fr/ficheapp/plane-b737-23912.htm
merci à LFMP News

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Les gazouillis sont là

Tiens... Il me rappelle quelqu'un, lui...
Mais peut-être me trompéje!

Non,pas beaucoup...juste 27 ans de maintenance (17 sur Boeing et 10 sur Airbus).
Le reste en line maintenance.
Et jamais pris une giclée de Skydrol juste des micro gouttes suffisantes pour irriter l'oeil pendant quelques minutes.
Il y a toujours une solution pour travailler proprement et en sécurité même si parfois on est bien obligé de faire avec les moyens du bord.

Dans le cas que l'on peut admirer sur l'image,il me semble que drainer le liquide dans un seau est la première des choses à envisager.Lorsque l'hydraulique ne coule presque plus on peut continuer à travailler.Il est aussi appréciable de se nouer des chiffons bien serrés autour des poignets afin de retarder la coulure sous les bras.

salut,
le pire que j ai vecu c est dans la trappe de train d un a300 B2 d IT ou mon pote un EIR a fais la pire des conneries, depressurisé un accu a 200 bars en ouvrant la nato comme un barjp, du coup on etait tous les deux bloqués dedans avec le melange gaz et skydrol en micros gouttelettes, on voyait plus rien et il a fallu attendre que l accu soit vidé pour ramper a l exterieur et sans pouvoir prendre la voiture pour aller nous rincer les yeux vu qu on etaient comme des aveugles sur le tarmac d Orly, bref l enfer a attendre que quelqu un nous aide et nous ramene au bt454!!!

C'était Air Pinder

Boeing B707-328A c/n 17616-93 F-BHSD "Château de Chenonceaux" en cours de maintenance (Visite dite "Bloc" à l'époque) à Orly-Nord en 1975.

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Abusus non tollit usum.

Arff,le hangar N3

Juste une question:

Je vois la photo ou l'on "revisse" les tôles plus haut dans ce fil. Pourquoi met-on autant de d'embouts pour visser les tôles ? J’imagine que tout doit être vissé en même temps mais pourquoi autant ? Cela sert de repère pour ne pas en oublier ou...? Disons pour faire simple, mais très très simple , quand j'utilise ma visseuse je n'ai qu'un seul embout.. heu..

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" Quand les corps et les débris sont dans l'axe, l'exercice est considéré comme réussi ! "

Ah,bonne question...
En fait il ne s'agit pas d'embouts de vissage mais de "bitards" de positionnement qui permettent de positionner une tôle précisément pour effectuer le perçage des autres trous.

Il s'agit d'un travail de réparation.C'est effectué par les chaudronniers.
La tôle à remplacer arrive sans perçage,il leur faut donc la présenter ,la positionner,puis commencer à la percer.
Dès que les premiers trous sont effectués,il est impératif qu'elle ne bouge plus pour continuer le travail de perçage.Ils placent donc ces petits outils qui assurent un positionnement sans jeu.
Une fois tous les trous percés,la tôle est redéposée afin de faire l'ébavurage, le traitement alodine des zones percées puis la peinture primaire.
Enfin la tôle est posée puis rivetée (rivets écrasés pneumatiquement ou fixations haute résistance type Hi Lock etc...)

mais permet-moi encore une question de néophyte: comment fais-tu quand tu reçois la tôle brute (sans trous donc) pour retrouver les trous de correspondances dessous (sur les nervures ou couples je suppose.. ? ) et placer ces "bitards" ???

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" Quand les corps et les débris sont dans l'axe, l'exercice est considéré comme réussi ! "

Elles est présentée pour s'assurer de la conformité en dimensions.
Puis elle est fixée temporairement depuis quelques trous reproduits à l'aide de la pièce déposée.
Enfin les trous sont contre-percés de l'intérieur en se servant des trous existants dans les lisses ou couples comme guide.

Dans certains cas j'ai vu des réparation en doublage (donc pas de pièce à recopier) effectuées en utilisant un gabarit en rhodoïde mais c'est réservé aux faibles surfaces me semble t-il.

Excellent ! merci pour ces précieuses informations

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" Quand les corps et les débris sont dans l'axe, l'exercice est considéré comme réussi ! "