Encore une fois Glagny, alias le commissaire politique de Crash Aerien, vous me les brisez menu et le mot est faible.
Si vous n'avez que ça à faire, votre pauvre vie est bien pitoyable, prenez un chien ou un perroquet, ça vous occupera.

Je n'ai rien à vous donner comme source car la photo, même si cela ne vous convient pas et bien de moi.
Photo prise dans la galerie commerciale d'Auchan Lac de Bordeaux en 2010.
Photo que l'on retrouve sur Pictaero sous mon pseudo Jean Goubet voir même sur Airport Data.

Si il se trouve usurpation, c'est bien ce site qui utilise ma photo sans me demander mon avis et ça me gonfle une nouvelle fois de me justifier tout ça pour un vieux <bip>.

On m'avez bien prévenu en mettant les pieds sur ce forum, qu'il y avait une belle bande d'abrutis qui pétaient plus haut que leur cul, malheureusement il faut parfois savoir écouter ses copains.

J'ai vraiment mieux à partager ailleurs.
(et profitez bien pour aller pleurnicher comme vous savez si bien faire dans les jupas de Crash Master)

J'ai vraiment mieux à partager ailleurs.

Posé en 2021, du coup il n'est pas sur google street :

Il était la figure de proue de la base école de Rochefort. Il veillait sur la place d’armes depuis plus de 40 ans. La semaine dernière, le Mirage III T01 a quitté définitivement sa stèle pour rejoindre le Musée de l’aviation de chasse de Montélimar (MEAC).



Ce Mirage III T (Turbofan) est un prototype unique réalisé par Dassault sur la base d’un Mirage III C et modifié afin d’être utilisé comme « banc d’essai volant ». L’objectif consistait à tester un moteur particulièrement puissant destiné à un projet de Mirage III V (V pour vertical) à décollage vertical. L’avion d’essai a réalisé son premier vol le 4 juin 1964 au départ de la base d’Istres avec aux commandes le pilote d’essai Jean Coureau.

Équipé tout d’abord d’un moteur TF 104 de 5 tonnes de poussée, celui-ci a ensuite été doté, un peu moins d’un an plus tard, d’un moteur Pratt & Wittney TF 106 de 7,5 tonnes de poussée avec postcombustion. Après l’arrêt de programme du Mirage III V, en 1966, l’aéronef a volé encore quelques années avant de poser fièrement, en position cabrée, à l’entrée de la BA 721.

Endommagé par de très longues années d’exposition aux éléments, l’aéronef a été mis à disposition du MEAC par l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE) et y sera exposé, après restauration, aux côtés de plus d’une centaine d’appareils civils et militaires.

Cet exemplaire unique en métal brut, marqueur visuel de la base école de Rochefort, restera dans la mémoire de tous et sera remplacé par un autre avion emblématique de l’armée de l’Air et de l’Espace, le Mirage 2000.

Base aérienne de Rochefort : le Mirage III T01 tire sa révérence

Mirage IIIT : T = Turbofan, banc d'essai en vol du réacteur SNECMA TF104 puis TF106 (Pratt & Whitney JT10 construit sous licence) destiné au Mirage III V. Il fait son premier vol le 4 juin 1964 et est testé jusqu'en 1966.

VIDEO."Un avion de la Patrouille de France, vous vous rendez compte !" : les images insolites du retour d'un avion de chasse dans son petit village
Solenne Barlot

(VIDEO dans l'article)

En Haute-Loire, l'emblème de Loudes est de retour ! Après des mois de restauration, le Fouga Magister retrouve sa place à l’entrée de cette petite commune. Ce modèle d’avion a été utilisé autrefois par la Patrouille de France, alors en clin d'œil au passé, l’appareil revêt désormais les couleurs de la Patrouille.

Convoi insolite en Haute-Loire. Le Fouga Magister, avion emblématique du village de Loudes, prend son envol. Il s'apprête à retrouver son aire d’exposition. Présents au moment de l’atterrissage, certains habitants de la commune, ne voulaient pas rater le retour de l’emblème de l'aérodrome : « Il est très beau. Ça nous manquait. Je le vois de ma fenêtre d’habitude, ça faisait vide. Je voulais le voir arriver. C’est l’emblème de Loudes. J’espère qu’il ne sera pas tagué à nouveau », se félicite Christiane, habitante du quartier. « Il est tout beau ! » se réjouit Robert, habitant, lui aussi venu assister à l’arrivée de l’avion. « C’est l’emblème de Loudes. »

Maurice, était lui aussi au rendez-vous, 20 ans plus tôt, cet ancien conseiller municipal, avait fait le déplacement jusqu’à la base militaire de Châteaudun où se trouvait l’appareil. « Il est tout neuf. Moi, je l’avais vu gris quand on est allé le chercher. Il était bien beau à l’époque mais avec le temps il s’était terni, il avait vieilli et maintenant il est tout neuf. J’y tiens car je suis allé le chercher ! Je l’ai démonté et remonté. A l’époque, le conseil municipal avait demandé des volontaires pour aller démonter l’avion. Nous avons passé 3 jours à Châteaudun, où les avions militaires avaient leur maintenance. A l’époque, ça ne faisait pas l’unanimité. L’aérodrome de Loudes est à côté. C’était une manière d’apporter ma pierre à l’édifice municipal. Un avion de la Patrouille de France, vous vous rendez compte ! »

L'avion complètement restauré

Quelques jours plus tôt, Franck Brize, serrurier peintre, finalisait la restauration de l’avion : « C’était la couleur officielle de la Patrouille de France, lors de l’année de création de l’avion. Elle nous a donné les références des bandes, des couleurs… Après, il a fallu repeindre et reproduire la décoration officielle. La Patrouille de France, ça fait rêver. C’est magique. C’est un défi d’arriver à reproduire cela aussi près que possible. Retaper un avion, ça ne nous arrive jamais d’habitude. » En l’espace de 7 mois, Franck a donné une seconde jeunesse au Fouga Magister. Grâce à lui l’appareil a repris des couleurs et pas n’importe lesquelles. Pendant 24 ans, ce modèle a volé pour la Patrouille de France.

L'avion a été entièrement restauré. • © E.Gérenton/FTV

"Il n’y a que 240 Fouga qui ont été fabriqués en France"

Afin de préserver ce bijou de l’aviation française, la municipalité a pris ses précautions, explique le maire PS Laurent Barbalat : « Il était temps de le rénover, il était dans un sale état. Il fallait qu’on le fasse correctement, avec l’autorisation de la Patrouille de France. Étant donné que c’est un ancien avion militaire, il était convenu dans le cahier des charges qu’on devait respecter certaines consignes par rapport à l’Armée de l’air. Ils nous ont autorisés à remettre ses couleurs d’origine. C’est une pièce de collection, il n’y a que 240 Fouga qui ont été fabriqués en France. Pour une petite mairie comme Loudes, c’est important. »

L'avion protégé

L’avion avait été dégradé plusieurs fois, alors pour le préserver, la commune a pris ses précautions : « Il va être surélevé pour ne pas être facilement accessible et on va le protéger grâce à des caméras de vidéosurveillance. » Ce projet tenait à cœur à l’édile et ses administrés : « C’est une belle réussite. Je suis très fier du bleu, blanc, rouge. » L’inauguration du Fouga Magister est prévue en mai prochain. Même si la Patrouille de France ne peut pas être de la partie, l’Armée de l’air, en revanche, sera présente.

-Propos recueillis par Eloïse Gérenton pour France 3 Auvergne