L'article de The Independent porte bien sur les hôtesses et les stewards, et non les pilotes.
Et pour moi, le terme "abuser" est bien faible.
Citation:
Forced her to take three months compulsory unpaid leave a year – in the quiet winter months – during which she would be forbidden to take another job but receive no money.
Ça c'est absolument dégueulasse. J'ai déjà vécu des situations dans le genre (2 mois sans revenus) et je ne le souhaite à personne. Et en plus, ils sont soi disant salariés...
Si la compagnie et les employés s'entendent, et que l'employé va bosser ailleurs pendant ce temps, c'est autre chose, même si c'est pas reluisant (combien de millions d'euros de bénéfices pour Ryanair?).
Mais là , c'est se faire foutre à la porte pendant trois mois avec interdiction de se trouver du boulot. Comment on fait alors? On crève de faim et on dort sous les ponts?