oiseau canari a écrit:
PSIN, je ne comprends pas bien, tu dis que la seule façon de se tromper dans le carburant est d'entrer de mauvaises informations au G1000. Cela veut-il dire que qu'il n'y a pas de véritable jauge utilisable en vol et que le système ne fait que mesurer le carburant consommé en le comparent au volume de carburant embarqué.
A moins que je ne me trompe, le 172 est motorisé par un Lycosaure alimenté par carbu. Je croyais que seule une alimentation par injection pouvait permettre de mesurer la consommation instantanée d'un moteur.
Non, je ne pense pas que cela fonctionne comme çà , c'est à dire avec un débit mètre (au Fuel flow).
Le pilote effectue la livraison de son avion pour le vol envisagé, le compteur volumétrique de la pompe AFGAS permet de quantifier le nombre de litres incorporé.
Ensuite le même pilote vérifie sur les jaugeur (1 par aile en général) la quantité estimée embarquée.
S'il a un doute il prends la jauge manuel de vérification, avion à plat pour s'assurer de la bonne quantité dans les deux ailes.
Ensuite en près Check, il rentre dans le calculateur quel-qu’il soit d'ailleurs la quantité embarquée le nombre de passer ce qui permet de visualiser le centrage de la machine.
la consommation de carburant étant paramétrée dans le Garmin 1000 avec les heures de fonctionnement du moteur et peut être aussi exponentiellement de sa vitesse de rotation, ou le chronomètre dès lors que la vitesse dépasse 40 kts, etc.., le calculateur en déduit le Range restant.
Donc si une mauvaise quantité d'essence a été introduite dans le calculateur, l'information présentée en vol est d'autant plus fausse.
Voila...