Manœuvres navales de l'escadre de la Méditerranée en 1911 : à mi-chemin entre le ballon et l'aéronef, le croiseur Edgar Quinet met en œuvre le cerf-volant piloté conçu par le capitaine Jacques Théodore Saconney pour éclairer l'escadre.
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https://www.calameo.com/read/004376882d41a91b9b34528 mai 1976
Félix PEAUCOU, ancien ouvrier cordier, a aujourd'hui 84 ans. Il a connu l'époque de la guerre de 14 où l'on s'accrochait à des cerfs-volants pour des observations d'intérêt militaire. Il raconte ses souvenirs. Il est monté pour la première fois en haut de Cyr, à Trappes, où il a pris le baptême de l'air en 1913.Il décrit ses expériences passées en cerf volant et en ballon captif. Engagé dans l'armée, son rôle était avant tout stratégique.
Situé à 3 ou 4 km du front il avait pour mission de prendre des photographies des champs de batailles vue du ciel. En mer, les cerf-volants étaient utilisés pour repérer les sous-marins, parce qu'on voyait en profondeur. Félix PEAUCOU détient le record d'altitude en cerf-volant avec 650 m, le 17 avril 1914. Ce record n'a toujours pas été battu depuis.C'est le récit d'un des derniers témoins de ces temps mal connus de l'aéronautique. Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel