Un autre argument, First Air se débrouille très bien avec ses ATR dans le Grand Nord Canadien.

Et je doute qu'ils aient choisi ce type d'appareil si il y avait eu le moindre problème de comportement dans des conditions de givrage.
Des modifications ont été faites sur les ATR mais aussi sur les procédures d'opération EN condition de givrage.
Il est impensable pour un équipage de cette même catégorie d'avion pris dans des conditions de givrage sévère de...
-Rester en circuit d'attente. L'idée c'est d'en sortir du givrage et au plus vite.
-D'avoir les volets sorties, ce qui change l'angle d'attaque de l'empennage horizontal et peu causer un "Tail stall"
-D'être sous pilote automatique. Qui corrige automatiquement tout changement aérodynamique (qui les cachent) Ça corrige mais jusqu'a un certain point.
-De garder une vitesse faible. Une contamination au icing égale augmentation des vitesses de décrochage.
Freezing rain, circuit d'attente, flap down/up, slow speed ? Auto pilot = American Eagle en 1994.
C'est tombé sur un ATR 72 et dans une certaine mesure ça aurait pu être n'importe quel autre type d'appareil de cette même catégorie.