À l’atterrissage, les copines réalisent qu’elles ne sont pas dans le bon pays : «On s’est plantées»

Deux Américaines ont cru partir pour le Costa Rica, mais ont atterri… à San José, en Californie. Une erreur de destination qui aurait pu gâcher leurs vacances… Mais après une halte improvisée à San Francisco, elles ont finalement rejoint le paradis tropical tant attendu.

Ces deux copines américaines peuvent prétendre au titre de " boulette de l’année ". Il faut dire que leur voyage vers le Costa Rica ne s’est pas tout à fait passé comme prévu…

Même ville, mauvais pays

Lynne Mazouz et Kira Smith pensaient s’envoler vers un véritable petit paradis vert : forêts tropicales, volcans, plages sauvages… Mais un (très) long voyage les attendait, relate le NY Post. Elles ont tout d’abord embarqué à l’aéroport LaGuardia de New York avec une correspondance prévue en Caroline du Nord. Ne restait plus qu’à fermer les yeux et se réveiller à destination, à San José. Sauf qu’à l’arrivée, surprise : les deux voyageuses ont bien atterri à San José… mais en Californie. " On s’est plantées ", a brièvement commenté Lynne Mazouz dans l’avion avant d’éclater de rire.

Une discussion en vol aurait pourtant pu leur mettre la puce à l’oreille. Un passager décrivait San José comme " la capitale mondiale des start-up technologiques ". Une remarque qui avait laissé Lynne Mazouz dubitative : " Hum, le Costa Rica ? C’est fou ! " avait-elle pensé.

Alors que faire ? Laisser tomber ? " J’étais convaincue que l’univers m’envoyait des signes pour que je n’y aille pas. J’étais à deux doigts d’abandonner à cause du nombre d’obstacles ", avoue la jeune femme. Mais les deux amies ont d’abord vérifié le reste des réservations. Cette fois, pas de nouvelle boulette. Elles ont donc décidé de profiter d’une halte sur place, à San Francisco, avant de repartir – pour de bon – au Costa Rica. Lynne et Kira ont finalement prolongé leur séjour d’une semaine, convaincues d’avoir vécu " les meilleures vacances " de leur vie.

" Aussi cliché que cela puisse paraître, les voyages les plus difficiles peuvent déboucher sur les expériences les plus gratifiantes ", concluent-elles. Nul doute qu’elles vérifieront quand même leurs billets la prochaine fois…

Alexandre LOC’H