Armée française au Mali : dans l'enfer des commandos.

France 2 diffuse vendredi 10 juillet un document contenant des images restées secret-défense jusqu'à aujourd'hui. On y suit une opération de militaires français organisée au Mali sous le feu d'une attaque jihadiste dans la zone dite des trois frontières (Mali, Burkina Faso, Niger).

France 2 ce soir:

Dans la nuit du 13 au 14 juin 2019, un hélicoptère de l'armée française est abattu dans la zone dite dite des trois frontières (Mali, Burkina Faso, Niger). Trois soldats sont blessés, ils témoignent pour la première fois. Les militaires français de l’opération Barkhane sont 5 000 au Sahel, engagés dans une lutte contre le terrorisme.

"Il y a des balles qui passent très près":

Le 13 juin 2019, un groupe de commandos va vivre une nuit d'enfer. Une traque commence. Elle va durer toute la nuit. "On avance dans une foret. C'est très cloisonné. On a trouvé des gens derrière un buisson avec une arme. Ils nous attendaient. On était à moins d'un mètre, il y a des balles qui passent très près", explique le capitaine Patrice, chef des commandos "montagne". Plusieurs dizaines de jihadistes se retrouvent nez à nez avec les commandos français. Un crash se produit. Un hélicoptère est détruit, mais l'équipage a survécu.

Vidéo:
https://www.francetvinfo.fr/economie/em ... 41985.html

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La vidéo diffusée par France2 ( https://www.francetvinfo.fr/replay-maga ... 42649.html ) est en effet centrée sur le sauvetage de l'équipage de la Gazelle par l'hélicoptère Tigre.

Déjà en juin 2019, un article d'opex360.com avait évoqué les conditions très particulières de l'extraction de la zone dangereuse de l'équipage de la Gazelle sur lequel ses acteurs apportent leur témoignage dans la vidéo :
http://www.opex360.com/2019/06/25/barkh ... on-aconit/

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Il vaut mieux se taire et passer pour un <bip> plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute à ce sujet . (Pierre Desproges)

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Pour ceux qui n'auraient pas suivi, le caporal-chef Maxime BLASCO du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins est mort au combat le 24 septembre au cours d’une opération de reconnaissance et de harcèlement conduite par la force BARKHANE dans le Gourma malien, dans la région de Gossi, à proximité de la frontière entre le Mali et le Burkina Faso.

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Il vaut mieux se taire et passer pour un <bip> plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute à ce sujet . (Pierre Desproges)